Si, l’on oscille toujours entre le respect des droits de l’homme et la dérogation du droit dans la campagne de lutter contre le terroriste, mes réflexions sont à l’inverse, elles focalisent sur comment on peut battre le terroriste par l’amélioration des droits de l’homme, en particulier la liberté d’expression, selon moi, elle est une atout fondamentale.

 

 

1.      La liberté d’expression et l’anti-terrorisme

Depuis la Révolution française, les terroristes sont probablement issue de l’idéologie, soit politique soit religieux, sauf les terroristes d’indépendantiste. Les anarchistes, les extrême gauche, les islamistes, pour eux, la conscience est leur support moral d’agir. Il s’agit d’une vue sur le monde et sur comment faire la société. Donc l’anti-terroriste par la manière juridique ou militaire ne suffit pas de le battre, parce que ce moyen ne touche pas au fond de leur conscience. Par exemple le terroriste extrême gauche dans les années 60-70 est issu de l’idéologie communiste. D’une côté, il est influencé profondément par les propagandes des pays communistes, l’ancien soviétique, la Chine où il n’y a pas de la liberté d’expression. D’autre côté, dans les pays occidentaux, les intellectuels de gauche, comme Sartre et ses camarades commémoraient la mort de Stahlin, la liberté d’expression recule par la domination de gauche communiste au nom du peuple. L’expression de Sartre résume bien la propagande communiste à ce moment-là, « il ne faut pas désespérer Billancourt ».

 

Par conséquence, la vérité et le débat public rationnel n’existe plus jusqu’au Printemps de Prague en 1968, et la publication de livre « L'Archipel du Goulag » de Soljenitsyne en 1973. Mais la cause s’est déjà installée à la société occidentale. Quand les communistes perdent de plus en plus la popularité du peuple, ils deviennent extrême, le terroriste. Mais, s’ils étaient nés faute de la liberté d’expression, ils disparaissaient grâce à la liberté d’expression. Parce que la vérité des catastrophes communistes détruit au fond leur conscience, leurs partisans, notamment leurs futurs militants qui ne croient plus le communisme. On sait très bien, le terroriste d’extrême gauche disparaissait après la chute de Soviétique où la vérité était dévoilée à tout le monde.

 

Les mesures juridiques et militaire sont important à lutte contre les terroristes actuelles (les membres), mais la liberté d’expression sont nécessaire à lutter contre leur membres potentiels, leur héritiers, sans les derniers, le terroriste ne survit plus.

 

D’ailleurs il faut souligner que si l’on considère les pays communistes comme les États terroristes, leurs chutes commençaient par la liberté d’expression qui est généralement la première revendication du peuple réveillé.

 

 

2. La liberté d’expression comme un atout fondamental contre le terrorisme actuel

 

Concernant le terroriste islamiste, la menace principale actuelle, il me semble que les pays occidentaux n’ont pas encore perçu la cause fondamental. Bien sûr certains mesures juridique et militaires sont efficaces, mais la majorité des mesures occidentale reposent sur le système démocratique actuel, ils n’ont pas perçu que ce système est lui-même incompétent face au terroriste, s’il n’est réformé pas.

 

Les exemples de cet échec sont partout et claires : les terroristes sont nés et éduqués en occidental, les citoyens occidentaux participent au djihad et à l’ISIS.

 

Le but finale de terroriste islamiste est de détruire la démocratie pour faire vivre la théocratie islamiste. Donc il convient de repenser au fond du système démocratique. La responsabilité des pays démocratiques est d’abord défendre les droits de l’homme dont la liberté d’expression. Le terroriste islamiste est issue de la théocratie, les mesures et les processus juridiques et militaires ne sont pas compétents de lutter au fond de la théocratie, seule solution est la lutte contre la théorie théocratique, il s’agit d’un débat public entre l’humaine et la théocratie sans politiquement correct dont les occidentaux manquent profondément. Dans les occidentaux, on le fait à l’inverse : d’un côté, on finance la promotion de la théocratie pour attirer les voix musulmans dans les élections, d’autre côté, on interdit le peuple de la critiquer, notamment en France. L’État de droit ne garantit plus la liberté d’expression, même pour l’islam libéral qui est entendu peu.

 

Par conséquence, les communautarismes islamistes se développent vite, faute de la liberté d’expression, la société ne peut pas écouter la parole qui critiquer l’islamiste, ne voit pas la vérité. le politiquement correct produit un double crime. Premièrement, il renfonce l’image que les musulmans sont tous victime en légalisant certains leur action violente contre la société démocratique, cela donne les terroristes l’honneur chez les musulmans occidentaux autant que dans les pays islamistes ; deuxièmement, puisque la critique et la vérité ne sont pas perçu et reconnu par la société, les terroristes, en particulier les jeunes subissent peu de remords faute de la pression sociale.

 

Pour obtenir les soutiens et les militants du terroriste islamiste, pour garder leur conscience et leur fidélité, la propagande islamiste est nécessaire. Dans le contexte dominé par le politiquement correct, la parole islamistes sont protégé au nom de la liberté de conscience, mais la critique anti-islamiste sont interdit, cela favorise unilatéralement la propagande islamiste.

 

Au nom de la liberté de conscience, on ne peux pas profaner l’islam. si c’est une bonne raison, on doit également interdire la majorité des ouvrages des sages à l’époque lumières, par exemple « candide » de voltaire, qui profane profondément l’église. Ainsi que l’ouvrage de Feuerbach « L’Essence de la religion » en 1845, qui critique la religion. D’autant plus les ouvrages de Thomas Paine, un symbole de l’anti-religion : « All national institutions of churches, whether Jewish, Christian, or Turkish, appear to me no other than human inventions set up to terrify and enslave mankind, and monopolize power and profi. » Si l’Église ne refuse pas à la critique contre elle-même, pourquoi l'Islam ne tolère pas la critique?

 

 

***

 

Historiquement, parmi toutes les religions principales dans le monde, l’islam est la seule religion né pour le but d’occuper le pouvoir politique, totalement différent que les autres religions qui n’ont pas la même motivation. De ce point de vue, l’islam peut être considéré dans quelques sens comme un courant politique. Donc, le droit de critiquer l’islam comme le courant politique doit être reconnu dans les États de droit, en particulier, les droits fondamentaux doivent garantir l’islam libéral qui veut réformer l’islam comme la réforme protestante au seizième siècle. L’État de droit ne peut pas capituler devant la menace du terroriste.

 

C’est un combat entre l’âme humaine et théocratie, donc la liberté d’expression doit être au centre de ce combat pour que la société se réveille, pour que les musulmans anti-libéraux se réveillent eux-mêmes. Parce qu’ils sont les premières victimes de la théocratie comme le peuple-victime innocent dans les pays communistes.

 

Le terroriste est au fond né de la pensée extrême, le meilleur outil anti-terroriste est donc le progrès de la conscience garanti par L’État de droit : la liberté d’expression, la liberté de pensée, ainsi que la laïcité et le droit à l’éducation humaine.

 

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